J'ai
le plus grand respect
pour
ces artistes,
pères,
mères,
heureux
au quotidien,
handicapés
de poids
lourds,
sous
les ailes de leur créativité
qui
peinent à s'envoler.
La
plume lourde,
la
lumière terne,
la
feuille humide,
dans
le silence
de
nuits trop courtes,
seul
combattant
le
sable du marchand.
Les
idées pleines
d'un
quotidien
fade
ou joyeux,
creusant
les plaies
cicatrisées
cherchant
la légèreté
des
blessures
du
passé.
La
libération demeure
hors
de portée
mais
l'éclat bref
donné
au public
des
plumes flamboyantes
sous
le trait filtrant
ravi.
E:
19-09-2011
No comments:
Post a Comment